Si les thématiques et personnages sont crédibles et bien ficelés (le jeu des jeunes actrices est aussi à point, surtout pour Dunst), l’environnement dans lequel le tout prend place est lui aussi bien réussi. Les coiffures et les robes nous ramènent tout droit en 1960, tout comme la musique et les distributrices de Coca-Cola. On apprécie également le style « fausse histoire vraie », avec les lignes de texte pour chacune des filles qui expliquent ce qu’elles sont devenues par la suite.
Lire l'article