The Prom est avant tout une production sur Broadway. On ne peut donc pas attribuer exclusivement à Murphy ce qui fonctionne moins dans la version cinématographique, puisque ce dernier s’est collé au spectacle et en a repris la trame narrative, les couleurs, l’éclat et les chansons. L’idée à la base du récit est bel et bien recevable, mais il me semble que le chemin qu’on prend pour la mettre de l’avant soit trop criant, rendant le tout hautement inconfortable.
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