The Prom est avant tout une production sur Broadway. On ne peut donc pas attribuer exclusivement à Murphy ce qui fonctionne moins dans la version cinématographique, puisque ce dernier s’est collé au spectacle et en a repris la trame narrative, les couleurs, l’éclat et les chansons. L’idée à la base du récit est bel et bien recevable, mais il me semble que le chemin qu’on prend pour la mettre de l’avant soit trop criant, rendant le tout hautement inconfortable.
Lire l'articleEn rétrospective, il n’y a malheureusement rien d’attachant dans la série. À travers ses personnages détestables et ses trames narratives agaçantes, on ne ressort qu’avec un très profond bien-être en se comparant avec les filles (car la série n’aurait absolument pas pu se nommer Women) de maintenant presque 30 ans.
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